L’octogénaire, agressée chez elle, avait été particulièrement traumatisée.
Les faits s’étaient déroulés dans la nuit du samedi au dimanche 22 avril, dans l’appartement d’une octogénaire, situé rue Pierre Audry, dans le 9e arrondissement de Lyon.
Deux heures de calvaire absolu
L’agression avait duré deux heures pendant lesquelles la victime, âgée de 87 ans, avait été violée. La victime portait des traces sur le corps laissant penser qu’elle s’est vigoureusement défendue.
L’ADN a parlé
Les investigations avaient rapidement porté leurs fruits et l’ADN relevé sur place a permis d’identifier le criminel. Il s’agit d’un migrant, sans papiers, arrivé à Lyon quelques mois auparavant… Et déjà connu de la police pour de nombreux cambriolages, parfois commis avec violence.
Le suspect localisé
Lundi après-midi, les policiers ont repéré le suspect et ont procédé à son interpellation. Sur lui, les fonctionnaires ont découvert une bague appartenant à l’octogénaire. Le suspect a été placé en garde à vue.
Il nie, puis avoue tout
Lors de ses auditions face aux enquêteurs, le mis en cause originaire du Maghreb a tenté de s’en sortir en expliquant être seulement âgé de 16 ans. Puis il a affirmé que l’octogénaire était consentante, niant le viol mais pas l’acte sexuel.
Une confrontation directe avec la victime
Lors de sa garde à vue, une confrontation entre le mis en cause et la victime a été organisée. Malgré son traumatisme, l’octogénaire a soutenu son regard accusateur, rapporte LyonMag. Et le mis en cause a fini par avouer les faits, de manière circonstanciée.